Avec « Camera Silens », le groupe punk qu’il a créé, Gilles Bertin oscille entre concerts turbulents, tremplins rock et petites combines. Jusqu’au jour où il braque près de 12 millions de francs à la Brink’s. Ses complices sont rapidement rattrapés… mais Gilles parvient à s’échapper en passant les Pyrénées. Une cavale de plusieurs décennies commence alors. Figure sans concession des années 1980, Gilles Bertin a publié une autobiographie à succès, « Trente ans de cavale ». Adaptation rock de celle-ci, « Les Héros du peuple sont immortels » relate son parcours en forme de rédemption depuis les années punk et sida, jusqu’aux années 2010. Aux Éditions Dargaud
Édition augmentée de 400 exemplaires, 300x230x150, avec une couverture alternative, un dossier de 16 pages couleur avec une interview exclusive de Philippe Rose.